Meurs pas, on a du monde

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Edition : Fleuve Noir

Dépot légal : 3ème trimestre 1980

Imprimeur : Imprimerie Bussière, Saint Amand

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Collection S.A. n°103 (n°104 par chronologie)Meurs pas, on a du monde back
Illustrateur 1er plat : Photo POINT 50

Sous-titre : Sublime Roman

Dédicace : A Françoise XENAKIS,
Affectueusement.
San-A.

Franchement, M. Konopoulos ne me demandait rien. D’ailleurs, je n’étais pas venu à Genève pour ça. La sublime nana qui m’attendait à l’aéroport avait une autre chatte à fouetter. Mais il a fallu que ce pauvre manutentionnaire soit mordu par un méchant serpent et que son aimable cadavre déboule en même temps que nos valises…
C’est idiot pour Marie-Marie qui, consécutivement, a dû faire une croisière en ambulance ! Mais alors, si tu avais vu nos frimes quand on a déballé l’abominable costume !
Enfin, tu m’as compris ? Si tu as tout pigé, pas la peine d’acheter ce livre. Mais s’il te reste des zones obscures dans la comprenette, n’hésite pas.
Quand tu en auras terminé la lecture, j’aime autant te prévenir : tu devras changer de calbar. Car, on a beau dire, mais il s’en passe des choses, en Suisse !

Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ?
Sanatonio part en vacances en Suisse pour passer du bon temps avec une pimbêche morue qu’il a à l’esprit de dessaler.
A l’aéroport, attendant ses bagages, quelle n’est pas sa surprise en constatant que le préposé aux bagages se présente les pieds devants, sur le tapis roulant, en état de mort certaine.
Et voilà, adieu les vacances au bord du lac, les jouissances de la vie auprès d’une donzelle bien carrossée.
De fils en aiguille, comme d’hab’ Sanatonio va remonter le cours de cette mort bizarroïde.
De diplomates grecs, en président français, en passant par les vallons Suisses Sana parviendra encore une fois, mais comment fait-il, à sauver le monde.
Tout cela avec pendue à son cou une bombe, cette fois-ci pas sexuelle.
Une enquête menée tambour battant par le plus grand commissaire de France, accompagné de Pinuche et de Béru qui nous offre le spectacle d’une saillie saisissante avec une rombière Suissesse froide comme un tombereau de neige.
Critique par Hexagone, le 1 avril 2011

Un week-end en Suisse qui s’annonçait particulièrement agréable, surtout dans les bras et le lit de la sublime Barbara (ou autre prénom selon l’humeur du lecteur). Sauf que… sauf qu’à l’arrivée des bagages à l’aéroport, le bagagiste gît mort aux milieu des bagages et d’une Samsonite rouge !
D’un coup, la belle Barbara est nettement moins attirante pour San-A qu’une enquête qui se profile à l’horizon. C’est pas de sa faute, les gènes sûrement… En tout cas le voila parti sur un coup de tête à la poursuite de cette valise rouge qui n’a pas le format habituel. Pourtant, quand il la retrouve, elle est d’une banalité à faire peur, uniquement rempli d’échantillons de parfum ! Pourtant… grâce à l’apparition inopportune de Marie-Marie, San-Antonio reste en Suisse et continue son enquête, qui va finir par lui coller à la peau avec un délicat tic-tac pour lui compter les heures qui lui reste à vivre.
Enquête totalement officieuse qui pourtant va mener notre beau commissaire (mais bientôt marié à Marie-Marie, il lui en fait la demande ici même) devant le Président de la République ! Et bien qu’anticonstitutionnellement construit ce roman va sauver notre gouvernement. De son côté, Béru, assisté du professeur Félix, membré encore plus fort que l’inspecteur, vont avoir fort à faire avec la patronne de l’hôtel qui se trouve la pauvre être frigide ! Un San-Antonio à ne pas mettre entre des mains encore trop innocentes mais particulièrement palpitant du côté de l’enquête.
Critique écrite par Arsenik_le 07/10/2006

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