Lâche-le, il tiendra tout seul

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Epoque(s) :

Edition : Fleuve Noir

Dépot légal : octobre 1999

Imprimeur : Société Nouvelle Firmin-Didot

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Collection SA n°174Lâche le, il tiendra tout seul back
Dessinateur 1er plat : Blachon

Citations :
Je ne laisserai pour héritage que mes dépenses.

Les américaines ont des bouches propres à faire des
pipes parce qu’elles mangent beaucoup de club-sandwichs.

Le ciel est trop haut, la terre est trop basse, seul,
le comptoir est à la bonne hauteur.

Maurice Sachs est surtout connu par son derrière. Ne
dit-on pas « Le cul de Sachs ? »

Il y a beaucoup de gens dont la mort me surprend parce
que je les croyais décédés depuis longtemps.

Il vaut mieux être honteux de vivre que fier de mourir.

Si je n’étais pas si pressé, je pleurerais.

Quand on dit d’un pétrolier qu’il dégaze, cela ne signifie pas qu’il pète, mais qu’il relâche sa cargaison en pleine mer.

Le ciel du Nord te vient aux mollets
Albert Benloulou

Méfiez vous de votre première impression : c’est toujours la meilleure.

La Suisse et ses territoires d’outre-lacs.

Avec quatre cintres à habits accrochés les uns aux autres, je réalise un mobile de Calder.

L’érection du matin n’est guère utilisable.

Rien de plus redoutable que la familiarité du con.

Il est des gens dont on oublie l’absence aussi vite que la présence.

De nos jours, pour être pédé, il faut se faire pistonner.

Il faudrait instituer la journée braguettes ouvertes.

On n’en finit pas d’être con.

Les pets, c’est comme les enfants : on ne supporte que les siens.

Quand j’étais jeune homme, je pleurais à chaude-pisse.

J’aime trop ma langue pour en apprendre une autre.

Tout compte fait, on ne laisse après soi que des regrets et des enfants.

Si j’avais su qu’il était aussi facile de mourir, je ne serais pas né.

Comme le disait un vieux fakir de mes amis : place au jeûne.

Dédicace : Au clochard inconnu qui a volé l’un
de mes bouquins dans une librairie
de l’avenue de Suffren. Avec ma
reconnaissance et ma sympathie.
San-A.

Ce roman est la suite du précédent livre « Trempe ton pain dans la soupe ».

« Dis-moi, Bicouillet, des livres d’horreur, t’en as lu des livres d’horreur ?
Oui ?
Et d’épouvante ?
Aussi ?
Ils t’ont plu ?
Pas toujours !
Parce qu’ils étaient écrits par des moudus, mon pote. Les auteurs te la jouaient surnaturelle : fantômes, vampires, hémoglobine !
A glagla, mon cul !
Ligote ce book et écoute la différence !
Si t’as pas froid aux noix, c’est parce que t’auras mis ton slip de vison !
N’en plus, y a la haine, ce vilain brasier de l’âme ; elle flambe haut, et moi qui me croyais incapable d’en éprouver !
Ben tu nous verrais en cavaliers de l’apocalypse, Jérémie, Béru et ma pomme !
De la folie furieuse !
Tu veux que je te dise, cette histoire ? J’aurais dû l’écrire au lance-flammes ! »
San-Antonio

En dernière partie du livre, un guide de lecture inédit élaboré par Raymond Milési intitulé : San-Antonio mode d’emploi. Il s’agit d’une bibliographie indiquant le principe des numérotations et d’une analyse thématique de l’œuvre de San-Antonio.
On trouve aussi une publicité pour les « Morceaux Choisis » , 8 tomes parus et 4 à paraitre.
En dernière page, une publicité pour San-Antonio, le Jeu : partagez votre passion pour San-Antonio en jouant avec sa langue inimitable…

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