Frédéric Dard a écrit, probablement au début de son séjour aux Mureaux, quelques poèmes parlant du sexe et des prostituées. Ces poèmes sont inspirés d’expériences vécues lorsqu’il était jeune journaliste à Lyon.
Dans celui-ci, intitulé Marcelle, Frédéric a glissé l’histoire qui lui est arrivée à Lyon lorsqu’ il a dû montrer son sexe à des gens de la Gestapo qui voulaient s’assurer qu’il n’était pas juif.
Ce poème ainsi que quelques autres (L’alsacienne, Jeune papa, Maman pute, Laura) a été publié en tant que Poêties sous le titre « Mon sexe est un promeneur solitaire » dans En voilà des histoires.