Frédéric Dard a écrit, probablement au début de son séjour aux Mureaux, quelques poèmes parlant du sexe et des prostituées. Ces poèmes mêlent l’imaginaire et les expériences vécues lorsqu’il était jeune journaliste à Lyon.
Celui -ci, intitulé Maman Pute, est empreint d’une certaine tristesse.
Ce poème ainsi que quelques autres (L’alsacienne, Jeune papa, Marcelle, Laura) a été publié en tant que Poêties sous le titre « Mon sexe est un promeneur solitaire » dans En voilà des histoires.