Deux affiches françaises ont été éditées pour la promotion du film Les menteurs réalisé par Edmond T. Gréville, d’après le roman « Cette mort dont tu parlais » de Frédéric Dard.
Le scénario et les dialogues de ce film ont été écrits par Frédéric Dard et Max Montagut.
L’affiche du haut a été dessinée par Jouineau Bourdouge et mesure 120 sur 160 cm.
Celle de droite, qui existe aussi sous forme de carte postale, mesure 60 sur 80 cm et a été imprimée par S.I.P.
Date de sortie : 25 octobre 1961
Acteurs : Dawn Addams, Jean Servais, Claude Brasseur, Francis Blanche, Claude Chabrol, Anne-Marie Coffinet, Roland Lesaffre, Wim Patten, Anne-Marie Bellini, Gaston Modot
Production : Méditerranée Cinéma
Norma, modeste actrice, et son ami Dominique, fruit sec, paresseux, sont en quête d’une bonne fortune susceptible d’améliorer un ordinaire bien médiocre. La lecture de « petites annonces » matrimoniales leur apporte une solution inespérée. En effet, Paul Dutraz, colonial de retour d’Afrique, est décidé, fortune faite, à vivre aux côtés d’une compagne mûre, dont la sagesse et la sécurité compenseraient la jeunesse. Norma, grimée en dame ayant atteint la cinquantaine, pose une candidature bientôt acceptée. Norma et Paul se marient ; mariage de raison. Les nouveaux époux font chambre à part. Norma a prévenu Paul de l’existence de son grand fils, qui n’est autre que son amant Dominique, et bientôt ce dernier, sous le prétexte d’une fracture de la jambe, survient dans la propriété de Paul. Bientôt, Paul surprend des manèges insolites qui ne laissent pas de l’intriguer. Quel jeu jouent cette Norma et ce Dominique ? Prétextant un voyage, il s’éloigne de la propriété et peut, d’un garage situé à portée de sa demeure, découvrir, grâce à une longue-vue, les amants donnant cours à leurs libres ébats. Il revient promptement, oblige Dominique, qui a tenté de l’empoisonner, à le suivre. Celui-ci, affolé, descend de voiture à contre-courant, et roule sous une auto. Epris de la belle Norma, Paul laissera sa jeune épouse méditer sur la mort de son complice et reviendra sans doute un jour la chercher.