224 pages de 14,4 sur 19 cm
Illustrations de Ray Chomel
Ce roman Gaulois de Vincent Dizon qui se revendique de l’Académie Gauloise a été tiré avec deux premières de couverture différentes avec la même date d’impression.
Il a été tiré de cet ouvrage sur Velin Bouffant Supérieur 110 exemplaires numérotés de 1 à 110 constituant l’édition originale.
Lire ce livre sur un tel papier Velin Bouffant est un vrai plaisir alliant l’intérêt de la lecture et la douceur des pages.
Dédicace : A Eugène Martin,poète, mestre en gai sabé, Maire de Montségur–sur-Lauzon ,au cœur de ce Tricastin qui inspire ces pages, ce témoignage de ma vive amitié.
V.D.
Belle préface de San-Antonio
Vincent Dizon a écrit en 1963 un roman gai intitulé « L’héritier du calife » préfacé par Marcel- E. Grancher qui avait contribué à lancer la carrière de Frédéric Dard.
Curiosité :Frédéric Dard a repris pour l’un de ses romans publié en 1968 un titre déjà utilisé par Vincent Dizon pour un de ses romans publié en 1965 « Zéro pour la question ! »