Turlute gratos les jours fériés

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Epoque(s) :

Edition : Fleuve Noir

Dépot légal : mai 1995

Imprimeur : Imprimerie Bussière, Saint Amand

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Collection SA n°163Turlute gratos les jours fériés back
Dessinateur 1er plat : A. Siauve

Citations :
Les histoires d’amitié sont comme les histoires
d’amour : les héros meurent à la fin.
C’est leur façon de bien finir.
SAN-ANTONIO

Si tu avances, tu meurs.
Si tu recules, tu meurs.
Alors à quoi bon reculer ?
Proverbe zoulou

On n’a rien à gagner à emmerder des gens
qui n’ont rien à perdre.
Albert B.

Il ne faut jamais se torcher le cul avec un
ticket de métro, surtout s’il a été poinçonné.
Albert B.

Combien de fois la carrière d’un vieux cycliste
aura-t-elle été interrompue par le col du fémur ?
Albert B.

Je n’ai jamais rencontré de « porc d’agrément » et
je le regrette. Quelle compagnie ce serait pour l’homme!
SAN-ANTONIO

Dédicace : A Pierre SCICLOUNOFF,
comme toujours et pour toujours.
SAN-A.

Que tu sois religieux ou non, l’idée te viendrait jamais d’aller zinguer quelqu’un dans un confessionnal, je parie ?
Eh bien tout le monde n’est pas comme toi, mon joli ! À preuve, cette dame défuntée de mort violente dans la guitoune aux péchés.
Mais le plus farce, si j’ose dire, c’est qu’elle-même s’apprêtait à flinguer son confesseur ! Tu parles d’une chasse à courre, mon neveu !
Cela dit, ce que je te raconte n’est que le début du book.
Son gracieux point de départ.
Je te cause pas de l’arrivée !
Alors là, espère : ceux qu’auront pas numéroté leurs abattis auront intérêt à retourner chez leur mère pour lui demander qu’elle les refasse !
Après tout, pourquoi elles auraient pas droit à un brouillon, les mamans ?
Je constate de plus en plus qu’en neuf mois t’as pas le temps de faire quelque chose de bien !

Mon curé chez les Assassins
San-Antonio est chargé de protéger un curé, ancien camarade de classe de Bérurier qui pour assurer la sécurité de la future victime le remplace dans le confessionnal. Tout se passe bien jusqu’à ce que la personne venue se confesser, une vieille dame, ne soit retrouvée morte piquée par une fléchette empoisonnée, le révolver que San-Antonio découvre prouve que c’est bien cette mamie inoffensive qui en voulait à la vie du curé. Pourquoi? Comment? Dans quelle étagère? Je ne vous le dirai pas….
Ceux qui connaissent la série seront en terrain connu, on y rit à en pleurer, l’intrigue est complètement inattendue et la conclusion est digne d’Agatha Christie, mais avec de l’humour et plus d’action et de sexe.
Critique écrite par Killeur.extreme, le 26 juin 2011

En fin de livre, plusieurs pages de publicité :
San-Antonio Œuvres Complètes (23 tomes disponibles, à paraitre le tome XXIV)
Dictionnaire San-Antonio
Les autres visages de San-Antonio : Les Kaput
Un Frédéric Dard inattendu : Romans d’épouvante
Les autres visages de San-Antonio : L’Ange Noir

Curiosité: Pierre Sciclounoff est vraiment cher au cœur de Frédéric Dard. C’est la 4ème fois qu’un San-Antonio lui est dédié. Frédéric Dard avait déjà dédié « Dégustez, gourmandes ! » en septembre 1985, puis « Les morues se dessalent » en février 1988 et « Al Capote » en juillet 1992.

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