Poison d’Avril

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Epoque(s) :

Edition : Fleuve Noir

Dépot légal : avril 1985

Imprimeur : Imprimerie Bussière, Saint Amand

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Collection SA  n°120Poison d'Avril back
Illustrateur 1er plat : Photo ZEFA – J. Kelly

Sous-titre : La vie sexuelle de Lili Pute

Citation :
Ce n’est pas vrai mais c’est ce que je pense.
Louis Scutenaire

« Elle était chinoise et s’appelait Li Pût, ce qui dans l’argot pékinois signifie Poison d’Avril. Ses parents l’avaient ainsi baptisée parce qu’elle était née au mois de janvier et que donc, Dû Cû, le papa de Li Pût, avait fécondé sa mère en avril et par inadvertance, un soir qu’il s’était pété à l’alcool de riz à 90°.
Le père de Li Pût , Dû Cû, était doker à Pékin. Comment ? Quest-ce que tu dis ? Ah ! y a pas la mer à Pékin ? Bon, alors il était tresseur de nattes ; ça te va ?
Quand Li Pût naquit, c’était l’année de la Morue. Tout le monde te dira, depuis Saint-André-le-Gaz (38) jusqu’à Nankin, que naître sous le signe de la Morue, hein ? tu m’as compris ! Et c’est ce qui se passa, dix-sept ans plus tard, montre en main !

Chinoiseries Antonionesques
Sana se fait pomponner le chinois par une asiate qui en connait un rayon sur l’enfilage, pas celui des perles. Docteur es Amour, lily pût est une péripatéticienne de haut vol, une virtuose des galipettes au septième ciel. Embauchée par un Tust afin de faire succomber de ses charmes certaines personnes masculines triées sur le volet. Tous à l’instar de l’un de nos présidents, qui comme le dit la formule  » voulut être César, il ne fut que pompé « , décèdent entre les jambes expertes de la belle. Sana ayant succombé aux charmes de l’intrigante, se voit mêler aux desseins du groupe qui ne veut ni plus moins que tuer le président des USA. C’est sans compter sur marie- Marie, Pinaud et Alexandre benoît, débarqués en Asie pour sauver coûte que coûte le célébrissime commissaire qui dans les deux tiers du livre ne fait que se livrer à des ébats torrides avec la belle, qui est devenue raide dingue du plus re-monté des commissaires de police. Ne gâchons pas notre plaisir, c’est cocasse comme d’hab, c’est truffé de gauloiseries désopilantes, contrat rempli haut la main.
Critique par Hexagone, le 4 juin 2009

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