Collection SA n°128
Illustrateur 1er plat : Photo VLOO
Dédicace : Pour D.D. SARDA,
qui fait la pige à la mère Sévigné.
Avec l’amitié de
SAN-A.
Quand j’ai sonné à la porte d’à côté, je ne savais pas que ce serait M. Blanc qui viendrait m’ouvrir. De même, j’ignorais qu’il était sénégalais et qu’il possédait toutes les qualités requises pour devenir mon ami d’enfance.
Et puis voilà…
Il m’a ouvert et on s’est mis à vivre des trucs comme tu peux pas savoir si tu ne lis pas ce vachement beau livre.
Ç’a été la fiesta de la castagne, espère !
Et celle des paires, donc !
Inutile de me bricoler la prostate, ma poule : je ne dirai pas de quelles paires il s’agit.
Mais tu vois : faut rencontrer les gens pour comprendre qu’ils vous manquaient.
Un très bon cru
Un San-Antonio ‘historique’ (si on peut dire), car c’est dans ce tome, le 128ème, qu’apparaît pour la première fois Jérémie Blanc, balayeur de couleur et à la forte personnalité, intelligent comme pas deux, et qui va porter assistance à San-Antonio et Bérurier pour cette affaire mélangeant meurtres sauvages et vengeance (en fait, des justiciers, rendant une justice sauvage là où la Justice française a des ratés).
On le supprostitue (je voulais dire, « on le suppute », mais ça fait vulgaire), Jérémie Blanc deviendra très rapidement un auxiliaire indispensable, un flic au même titre que Béru ou Pinaud. Et un personnage récurrent de la série, aussi.
« La Fête Des Paires » est un très bon cru, drôle, rempli de suspense, très grivois parfois (ça démarre assez chaudement !). Un amateur de la série se doit de le lire. Il l’appréciera sûrement !
Critique par Bookivore, le 2 octobre 200