Collection SA n°166 (Super San-Antonio)
Prix : 42 F.F.
Dessinateur 1er plat : A. Siauve
Sous-titre : Roman de mœurs facilitant le transit intestinal
Citations :
Je bois pour oublier.
Pour oublier quoi ?
Que je bois.
Faut en profiter quand c’est mouillé.
J.-P. RAYMOND (aquarelliste)
On est comme on naît.
On n’a rien à gagner à emmerder les gens qui n’ont rien à perdre.
Faut toujours se gaffer des pays ou il ne se passe rien.
Parce que, en général, il s’y passe des trucs-machins pires qu’ailleurs.
Ainsi de l’Uruguay.
Moi je croyais que Montevideo, sa capitale, n’était intéressante que pour les cinq pieds qu’elle apporte à une chanson.
Fume !
Si nous n’avions pas été à la hauteur, Béru et moi, on y aurait laissé nos belles plumes de coqs !
Heureusement qu’on a pu s’y faire rigoler la zize à s’en gonfler les agmydales sud !
Quand on a tout paumé, il nous reste au moins le chibre. Nos petites potesses n’en demandent pas davantage, t’es d’accord ?
Les services de contre-espionnage Anglais demandent à San-A de retrouver Kurt Vogel, un terroriste qui s’est exilé en Uruguay.
Aussitôt arrivé, San-A est informé par le chef de la police de l’endroit ou vit Vogel.
San-A s’y rends avec Béru, mais Vogel est assassiné, presque sous ses yeux.
Grâce à la magnifique (et sensuelle) femme du chef de la police, San-A se tire d’affaire, et après moult rebondissements, retrouve le trésor que Vogel avait dérobé aux Anglais.