Il existe 2 affiches françaises de ce film sorti le 23 décembre 1966 :
– La première (ci-dessus) de format 120 sur 160 cm a été illustrée par René Ferracci.
– La seconde imprimée par St Martin existe en deux formats : 120 sur 160 cm et 60 sur 80 cm. Elle a servi de base pour la réalisation d’une carte postale.
Réalisateur : Guy Lefranc assisté de Maurice Delbez, d’après le roman « Messieurs les Hommes » de San-Antonio
Acteurs : Gérard Barray, Jean Richard, Patricia Viterbo, Nicole Maurey, Paul Préboist, Philippe Clay, Gérard Darrieu, François Cadet , Georges Bellec, David Gerson, Gaston Woignez, Jacques Schaeffer, Patricia Karim , Hélène Rémy ,Danielle Dubreuil , Karyn Balm ,Maryse Martin , Jenny Orléans , Marie-Noelle, Pierre Moncorbier, Max Amyl , Paul Rieger, Yves Gabrielli, Marcel Gassouk , Jean Galland , Raymond Jourdan , Robert Le Béal, Pierre Lecomte, Jean-Paul Moulinot , Jean Michaud , Yvan Chiffre, Robert Blome , Henri Bellec, René Lefèvre-Bel
Scénario et dialogues : Gilles Dumoulin et Michel Audiard
Production : Les Productions Jacques Roitfeld
D’éminents savants atomistes ayant mystérieusement disparu, la police charge le dynamique commissaire San-Antonio non seulement de retrouver ceux-ci, mais aussi d’arrêter le chef de l’organisation. Quelques truands sont soupçonnés d’avoir trempé dans ces affaires et San-Antonio, pour remonter la filière, organise un petit scénario. Il se fait admettre dans la bande comme efficace collaborateur : son insolence vis-à-vis des policiers, ses excellents réflexes de pugiliste lui valent la confiance admirative des durs. Leur caïd le mène jusqu’au dénommé Félix qui subodore en lui le policier mais décide, avant de le liquider, de se servir de lui comme couverture. San-Antonio s’est embarqué dans cette périlleuse expédition avec un petit transistor qui ne se contente pas de régaler les gangsters de musiquette, mais sert aussi d’émetteur et renseigne son fidèle collaborateur, l’adipeux et vorace Bérurier, sur les déplacements de son patron. De multiples péripéties entraînent vers la Normandie, puis ramènent à Paris, San Antonio et Bérurier, l’un suivant l’autre, et tour à tour en bien mauvaise posture. Mais le commissaire se tire avec élégance et agilité des pires situations tandis que le gros Bérurier s’essouffle à le seconder tout en assouvissant un appétit déconcertant. San-Antonio découvrira à la tête de l’organisation convoyeuse de savants un fabricant de mannequins en cire, retrouvera in extremis les atomistes drogués prêts pour l’expédition, et arrêtera, lors d’une spectaculaire descente en parachute, l’inquiétant Félix.