Numéro daté du 15 avril 1939
Sous-titre : Le Grand Périodique illustré Lyonnais politique, littéraire, artistique et d’information
Prix : 4 francs
Illustration 1er plat : une photographie de Taborin des Chanteurs de Lyon auxquels Marcel-E. Grancher a consacré un article dans ce numéro.
Administrateur : Gaston Simonet
Rédacteur en Chef : Marcel-E. Grancher
Secrétaire Général : Henry Clos-Jouve
Le « Mois à Lyon » est en lecture dans les salons d’attente des principaux Médecins, Avocats, Avoués et Dentistes de la région lyonnaise et des départements limitrophes, ainsi que dans les principaux Restaurants, Cafés, Hôtels, etc… – Diffusion totale : 50000 lecteurs.
C’est une belle revue de grande dimension (24 sur 30 cm) entièrement imprimée sur du papier blanc glacé.
Elle comporte 60 pages, mais 34 pages sont consacrées à des publicités ou histoires drôles.
Ce numéro contient 2 articles de Frédéric Dard, l’un consacré au bilan de la Foire de Lyon et l’autre à l’Exposition de merveilleux tapis de Mikaeloff.
Voici le contenu de ce numéro :
Vu du Gros Caillou 8 pages dont 2 articles de Dard Après la Foire et L’Exposition Mikaeloff
Nos sociétés lyonnaises : Les Chanteurs de Lyon, par Marcel-E. Grancher
Au Palais, par Jean Dorliange
Les propos d’Auguste, par G. de la Jacquardière
Les 4 jeudis – Foire –Nocturne- Circulation-Critique d’Art par Henry Clos-Jouve
Les Orchestres des Etablissements Lyonnais – Le jazz Alexandre et les attractions, par Max-André Dazergues, Grand Prix Littéraire de Lyon 1938
Supplément cinématographique du Mois à Lyon 6ème année, n° 105 ( en fait il y a une coquille car c’est marqué 7eme année, n°5) Rubrique dirigée par Marcel-E. Grancher 6 pages
Une visite chez Byrrh, l’apéritif de France par Marcel-E. Grancher
Nos artistes – Le peintre Thévenin, par Marcel-E. Grancher
Rubrique Les Lettres, par Max-André Dazergues
T.S.F.
La mode
Coin du Beaujolais – par Joe Imbert-Vier
Aux Brotteaux
A la Croix-Rousse
Aux Halles
L’auto et la moto – Avant la saison des courses automobiles, par Maurice Henry et Banquet du Moto-Club de Villeurbanne, par Léon Charlaix. On se doute bien que Léon, bon vivant, y a pris un vrai plaisir, surtout pour le coq au vin et le vin l’accompagnant. Un symbole de l’ art de (bien) vivre de l’époque.
Tourisme et cyclotourisme
Le bien manger et bien boire
Astrologie, par Madame Clara
Des Jacobins aux Célestins