La vieille qui marchait dans la mer – Théâtre

Auteur(s) :

Epoque(s) :

Edition : Théâtre National du Luxembourg

Dépot légal : 2020

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Carte-programme recto-verso de la pièce de théâtre « La vieille qui marchait dans la mer » d’après le roman éponyme de Frédéric Dard publié en 1988.
Dimensions : 10,5 sur 15 cm

La création de cette pièce a eu lieu au Théâtre National du Luxembourg le 23 janvier 2020. En addition à cette Première, 5 autres représentations se tiendront jusqu’au 4 février 2020 (les 25, 29 et 30 janvier ainsi que les 2 et 4 février).

Lady M., une championne de l’arnaque, parcourt le monde en compagnie de son vieux complice Pompilius, un ancien diplomate roumain qui fut aussi son amant. Seulement Lady M. vieillit: à 85 ans, il lui faut désormais prendre appui sur une canne, marcher dans la mer pour calmer l’arthrose qui la martyrise … Sa rencontre avec Lambert, un jeune plagiste désoeuvré dont elle tombe follement amoureuse, va changer la courbe du destin. Soixante ans les séparent? Qu’importe!

Marja-Leena Junker incarne l’arnaqueuse Lady M., Lionel Liègeois tient le rôle de Lambert et Jacques Roehrich celui de Pompilius.
Adaptation et mise en scène : Katia Scarton-Kim
Scénographie et costumes : Christian Klein
Assistance à la mise en scène et à la dramaturgie : Carole Fontaine
Conception sonore & musique : Samuel Reinard
Production Théâtre National du Luxembourg
Co-réalisation pour la diffusion Swing ! Compagnie théâtrale Nancy

 

 

 

3 espaces/cabines posés sur du sable symbolisant à la fois des cabines de plage, des espaces individuels, des chambres, et/ou les fenêtres d’un hôtel au bord de la mer.
A gauche, la chambre de Pompilius. Celle de Lady M. au centre. La chambre est plus grande que les autres avec un lit à baldaquin au centre, et celle de Lambert à droite. Ces espaces/cabines sont fermés par un rideau transparent qui s’ouvre et se ferme et bouge dans le vent de la mer.
Le dispositif scénique part d’une idée cinématographique, celle du plan large et du plan serré:
Au début du spectacle nous sommes en PLAN LARGE EXTERIEUR JOUR:
– 3 espaces/cabines, 3 fenêtres donnant sur la plage et plus loin la mer.
L’espace de jeu des acteurs prend la largeur et la profondeur du plateau.
Au fur et à mesure que le spectacle avance, l’espace se réduit,se resserre autour de l’espace/cabine de Lady M. Les deux cabines sur les côtés disparaissent. Celle de Pompilius d’abord(le personnage se suicide par dépit amoureux) la cabine s’éteint.L’espace de Lambert ensuite (le personnage quitte son espace et rejoint celui de Lady M). Au fur et à mesure que les deux espaces masculins (Pompilius/Lambert) disparaissent, l’espace/cabine de Lady M avance jusqu’à l’avant-scène.
A mi-spectacle nous sommes en PLAN SERRE EXTERIEUR JOUR:
– 1 espace/cabine, celui de Lady M,donnant sur le front de mer(à l’avant-scène).
L’espace de jeu des acteurs se resserre à l’avant-scène, sur le front de mer et dans la cabine.
Le rideau de l’espace/cabine de lady M tombe pour ne laisser que le châssis du décor.
A la fin du spectacle,nous sommes en INTERIEUR JOUR:
– Le lit de Lady M.
L’espace de jeu des acteurs se concentre autour et dans le lit de Lady M.
Le spectacle se termine sur un PLAN TRES SERRE SUR LADY M.
Un faisceau de lumière éclaire Lady M. Son corps, son visage, sa peau.
Pour les costumes l’idée est exactement la même.
Au départ, nous sommes sur des costumes très habillés aux tissus chatoyants, blanc cassé, rose pâle…pour peu à peu aller vers l’épure et la simplicité. Lady M portera une simple nuisette laissant deviner le corps, la peau.

Un très grand merci à l’ami Daniel Engels qui a eu la gentillesse de m’envoyer ce programme et les photos ci-dessus.

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