Collection SA n°146
Dessinateur 1er plat : Wolinski
Citation :
Après mûres réflexions, je crois pouvoir affirmer que
le plus court chemin d’un cul à un autre, c’est ma bite !
Dédicace:
Pour Bernard HALLER, Alain CHEVALLIER, Alain MALLET
les trois mousquetaires d’une folle équipée dardienne.
Avec tendresse et reconnaissance.
San-A.
Chanson de salle de garde
Non, non, non, Bérurier n’est pas mort
Non, non, non, Bérurier n’est pas mort
Car il bande encore
Car il bande encore.
Et pourtant ! Oui, pourtant !
Il a bel et bien trépassé à l’ombre des montagnes Rocheuses, notre héroïque Buffalo Bide.
Il aura donné sa vie à la France. et son vit à Cupidon.
Qu’il repose en pets. Amen.
A toi l’Amérique Sana.
Pensez, Béru a un frère jumeau aux USA !
De plus il est en train d’agoniser et sur son lit de mort il n’a prononcé qu’une phrase » Bérrurier police parisienne « .
Branle bas de combat à la CIA.
Nos Frenchies débarquent chez l’oncle Sam et vont y mener tambour battant une enquête aussi bien roulée que celles qui se passent ici.
Un Sana dans lequel Béru va mourir pour mieux revenir.
Des gauloiseries aux pays des mâcheurs de chewing-gum, du sexe made in France, avant le redressement productif.
Un Sana plus touchant que les autres car Dard y évoque l’amour avec beaucoup de tendresse, un vrai coeur d’artichaut sous le cuir du macho.
Comme d’hab c’est très bon et surtout ça fait du bien.
Aux prochaines élections je vote Béru, il la redressera lui la France.
Critique par Hexagone, le 14 mars 2013
En fin de livre, publicité pour la sortie du mari de Léon., un grand SAN-ANTONIO