Roman policier grand format de Frédéric Dard publié au 1er trimestre 1976.
Photo 1er plat : Claude Malet
Au dernier plat, on trouve une postface de Boileau-Narcejac : Nul de possède mieux que Frédéric Dard le métier policier.
Dédicace : A Claude RICHOZ,
mon ami.
F.D.
«Ils étaient là, assis face à face, ne sachant pratiquement rien l’un de l’autre, n’éprouvant rien l’un pour l’autre et pourtant décidés à vivre ensemble pendant un certain temps dans une ville étrangère sans avoir d’autres liens qu’un meurtre.»
Ce roman noir et audacieux est, sans conteste, un des chefs-d’oeuvres de Frédéric Dard.
« La Dame qu’on allait voir chez elle » est un polar où on retrouve tout ce qui fait la saveur des romans noirs de Frédéric Dard. Un héros un peu lâche, empêtré dans le quotidien, sanguin, tourmenté, en proie à des pulsions sexuelles parfois louches, vaguement artiste. Une rencontre « fortuite » avec une femme, un crime, un maître chanteur vicelard, et une dame (la fameuse dame qu’on allait voir…)
Critique de « La dame qu’on allait voir chez elle » par Caiuspupus
Ce roman a été réédité 3 fois, en 1979, puis en 1993 et enfin en 1997,toujours au Fleuve Noir :